La cérémonie du mariage

Dans l'église

Gin regardait le plafond et se demandait comment on pouvait peindre un plafond ? à coup sur que la peinture devait couler le long des bras ou bien carrément égouter sur le visage... Et comment ils faisaient pour garder les proportions de ce qu'ils dessinaient ? oh ben ils devaient certainement faire un brouillon avant ... oh bien arrête ! comment tu veux qu'ils fassent autrement ? Rolling Eyes

ils sont obligés de passer par un brouillon qu'ils prennent et reprennent jusqu'à ce que la prop ortion soit bonne Shocked

. Forcément , c'est pas des Einsteins non plus ! peuvent pas tout faire d'un premier jet... Hum ? einstein? Shocked

qui qu'à dit ça ? hein ? ça va pas non ! c'est pas moi, pas possible ché meme pas ce que ça veut dire einstein, alors arrête tes bêtises un peu ok ? Rolling Eyes

pfff non mais zut qui c'est qui raconte l'histoire ici ? c'est toi zé ? oui , ben abstiens toi de tes commentaires ok et ça ira comme ça ! HEIN ??? Shocked

non comme elle se la pète la gin, j'en reviens pas !

Donc nous disions que la Gin était comment dire "en extaxe ?" devant ou plutot sous le plafond... lorqu'elle fut arrachée à ses pensées hautement philosophiques ...

- Elle est là !
- qui ? la mariée ? pousse toi,je ne la vois pas ... ou ? mais baisse toi , mince !
- heps, la mariée est là ! ben là quoi ! m'enfin ou tu veux qu'elle soit ? elle est à l'entrée de l'église !
- Tu as des nouvelles au fait de la tata zizette ? hein ? quoi ? la mariée , ha voué y'a la mariée !!!
- c'est elle qu'il épouse ? ben c'était pas une blonde ? pfff un blonde, une brune qu'est ce que ça peut te foutre ! Babèth tu peux enlever ton chapeau s'il te plait on voit rien derrière ?
- Dis à mémé de s'assoir ! Mémé asseyez-vous s'il vous plait ... non , arrêtez ! Non par-ici ! Marcel, dites à votre mère de s'assoir une bonne fois pour toute, ça commence !

Gin fait comme tout le monde, elle regarde le parvis de l'église. Les portes de l'église sont grandes ouvertes et se dessine l'ombre de Mae au bras de son père.

Une rumeur se répand à vitesse grand v médiévale Very Happy

- ohhh qu'elle est belle !
- poussez-vous , on ne voit rien !
- ça y est , elle entre ? non mais ça ne saurait tarder !
- elle est magnifique !
- c'est à vous le petit blond ? bien, vous pourriez lui demander d'arrêter de gigoter ? je ne vois rien !

Messages : 7 Date d'inscription : 19/10/2010

Le mariage de la petite dernière, ça c'est un sacré évènement!
Peut être parce que les années ont passé ils se sentent tout drôles.

Elle regarde Pit et à l'expression de son regard, elle sait ce qui se passe dans son esprit.
Les années ont renforcé leur cohésion et c'est cette harmonie depuis le premier jour qui les a fait surnommer "le couple mythique".

Elle sait qu'il a toujours cette impression ridicule qu'il perd un peu de sa fille en la conduisant vers l'autel.
Sans un mot elle lui presse un peu plus la main en lui souriant tendrement.

Ils sont là tous les trois dans ce carrosse à attendre que Toni soit installé pour que la mariée arrive en dernier.
Dès que Perlin, le garde fidèle Guérande, fera signe, ils iront alors vers la dernière étape du rituel.

Messages : 5 Date d'inscription : 22/07/2011

- En ce cas, je vous mènerai à l'autel, répondit, tout autant amusé que la rousse qui lui avait conquis le bras, le chevalier. Pensez, pour lui aussi conduire une diacre, chevalier de surcroît et bretonne - comment ça Guillaume a du mal à comprendre que les choses peuvent changer?... - en guise de cerise sur le gâteau, c'était une perspective bien plus distrayante que de prendre part au deuil royal ou d'attendre au Mans des brigands qui le boudent ostensiblement. Même pas un coquillard à rosser pour garder la forme. Il en était réduit à entraîner un diabolique trio féminin aux arts subtils de la lame d'acier et à passer ses nuits sur les remparts, une bouteille de... de bien des choses à la main. Alors, oui, l'invitation au mariage l'avait ravi, lui offrant la perspective d'un, relatif, délassement.

Il était tout sourire, le chevalier, saluant de-ci de-là les têtes co... non inconnues qu'il croisait. Tout au plus s'il avait pensé reconnaître l'amirale de France, et encore n'en était-il pas certain. Mais cela ne l'empêchait pas de faire preuve de courtoisie. Au fond, c'était lui l'intrus icelieu. Autant donc ne pas se montrer désagréable. Il remonta donc peu avant les futurs époux l'allée centrale de l'église. Certes, ce n'était pas Notre-Dame, ni la cathédrale de Bruges, mais cela ne l'empêchait pas d'apprécier cette bâtisse pour ce qu'elle était, le refuge du Seigneur, un lieu sacré, qui valait plus par sa fonction divine que par une élégance architecturale qui, au fond, n'était qu'un bien inutile masque d'apparat. Mais elle ne manquait pas de charme, et il profita donc réellement de sa découverte, d'autant qu'il était loin d'être convaincu d'y remettre prochainement les pieds.

Finalement, le couple chevaleresque arriva au terme de sa quête, bien modeste en ce jour, et le Flamand retira doucement son bras de l'emprise féminine.

"Belle chevalier, je crois que je me dois maintenant de vous quitter. Pour un temps."

Inclinant légèrement le buste, il se retira afin de gagner la troisième rangée des bancs. En cela, il désobéissait à sa cavalière du jour, mais s'imaginer privant d'une place d'honneur quelqu'un qui y tenait plus que lui, voila qui lui était insupportable.

Messages : 2 Date d'inscription : 24/07/2011

Perlin passe la tête à la portière et fait signe que tout est en ordre, pas de trublion à l'horizon, Toni attend patiemment sa fiancée et ils peuvent enfin y aller.

Il descend du carrosse, aide son épouse à descendre également puis se tourne vers Mae et lui offre sa main.
Il prend doucement la main tremblante de sa fille, la regarde intensément avec un bon sourire tendre puis sans un mot lui offre son bras.

Ils se dirigent alors vers l'église proche au milieu des invités.
Evenice est allée s'installer à la place qui lui était dévolue et tranquillement tous deux longent l'allée vers la nef.

Elle lui semble interminable cette allée et comme pour essayer de garder sa fille encore un peu, il a posé son autre main sur la sienne tout au long jusque devant l'autel.

Il conduit Mae devant le fauteuil qui lui est destiné aux côtés de son futur époux.
Là il embrasse la paume de la main de sa fille et l'aide à s'installer.
Enfin après un discret salut à Toni et à Aalys, il se dirige vers sa place près de son épouse.

Messages : 11 Date d'inscription : 10/07/2011

Bien, allons-y…

Juste le temps de le suivre…
Il est comme ça le com’s..
Long à la détente mais une fois décidé, plus rien ne l’arrête..

Les froufrous trainent comme ils peuvent entre ses bottes et Cerdanne s’applique à rester contre son Com’s.
Jamais mis autant les pieds dans un tel lieu en si peu de temps.

Jusque là, elle ne s’est même pas tracassé de savoir qui serait présent et d’ailleurs ne s’était même pas intéressé à la future épouse de Toni.
C’est lorsqu’ils franchirent les portes de l’église qu’elle réalisa.
Mais là, là…
Y avait foule et que du Breton ou presque.
C’était limite qu’elle tourne les talons et sorte aiguiser sa lame.

Sa main s’accrocha au bras du Com’s et à chaque pas dans l’allée, elle resserrait son étreinte.
Lèvres mordues pour taire les mots, elle colla les basques de son Toni jusque devant l’autel.
Là, la vue était imprenable sur la marée bretonne.
Une tache amicale amena un léger sourire sur son visage.
Capmam avait les yeux couleurs naufrages…..
La cérémonie s’annonçait charmante.

En tout cas foi de témoin, elle témoignerait.
La mariée avait intérêt à être à la hauteur…

Messages : 25 Date d'inscription : 04/06/2011

L'attente ne fût pas aussi longue qu'il l'aurait cru. A peine quelques dizaines de minutes s'écoulent avant que se dessine sur le parvis la silhouette de la mariée accrochée au bras de son père. La synchronisation semble parfaite ...

Il ne la quitte plus des yeux alors qu'elle avance et que les invités détournent la tête pour la suivre. une longue et interminable marche jusqu’à l'autel. Un sourire machinal a Pit alors que celui ci arrive a l'autel et qu'il s'éloigne pour rejoindre les rangs.

Son regard revient vers sa douce, il lui adresse un sourire affectueux et et glisse sa main dans la sienne, ensemble ils se tournent vers la diaconesse.

Messages : 10 Date d'inscription : 29/01/2011

Et voilà sa femme, belle et apprêtée par ses soins dans la matinée, resplendissante au possible au bras de son père qui la mène pas à pas vers l'autel. En cet instant, Aalys avait sans doute le coeur qui battait autant à tout rompre que celui de Mae, étant au coeur de l'évènement à sa manière.
Ce mariage l’émeut surement plus que les autres qu'elle considère d'ordinaire bien trop ennuyeux sans oser l'avouer.

Livre à la main, postée devant les futurs époux, elle entama après un doux regard à leur intention.

Mes chers frères et mes chères sœurs,

Nous sommes aujourd’hui réunis en l’église d'Espalion afin de célébrer l’union de Maewenn de Guérande et Toni Montana.

Volontairement, Lys ne prononce nullement les titres, les laissant aux autres en ce jour où l'on célèbre seulement l'union de deux personnes. D'autant plus que a plupart des invités icelieu les connaissent sans doute et puis, finalement, elle fait ce qu'elle veut !

Je demande donc à leur témoins de rester près d'eux, à l'autel, afin que ni l'un ni l'autre ne s'enfuit alors qu'il s'agit de leur jour !

Un sourire amusé se dessina sur ses lèvres. Il faut dire qu'elle en avait connu des cas tels que cela...Et sans en dire plus, ou du moins sur la possibilité de fuite d'un des époux, la diaconesse qu'elle était en cet instant s'avança quelque peu et lut un passage de la vie d'Aristote ce qui ferait certainement plaisir à Cerdanne et Harpège dont elle avait souvenir de l'engouement au baptême.

Citation :: En ce temps-là une grande nouvelle se répandit dans la ville de Stagire : les sages astrologues venaient de repérer une comète inconnue dans le firmament. Aussitôt l’assemblée de la ville se réunie sur l'agora, tentant de découvrir le message que les cieux voulaient transmettre aux hommes. Hélas leur cœur était obscurci par leur foi erronée en de faux dieux, et ils s’égaraient dans des suggestions impies : pour l’un il s’agissait de la venue d’Hermès aux pieds ailés. Pour d’autre la foudre de Zeus allait s’abattre au milieu des hommes, et les temps touchaient à leur fin.
Seul dans l’assemblée un homme se taisait : son épouse était sur le point d’enfanter, et l’angoisse qui était la sienne ne lui permettait pas d’intervenir. Il n’était pourtant pas le moins sage, ni le moins écouté. La noblesse et la paix se lisait sur son visage, ainsi que les marques d’un dur labeur et d’une vie sans mollesse.

Après une courte pause, histoire de reprendre son souffle, elle ajouta

Vous avez dans ce texte l'exemple d'un père noble et sage, soucieux de son épouse et de l'enfant qui va naitre. Son existence a été marquée par la justice, le travail et l'honneur. Voilà l'exemple que vous devez suivre. L'honneur, la justice, le travail quotidien. C'est là que se trouve la clé du bonheur. Et peut-être alors que vos enfants, suivant vos traces, auront la sagesse d'Aristote et la bonté de Christos.

De ses émeraudes elle chercha avec envie un verre de vin, sa gorge s'asséchant. Elle était femme d'arme ou encore de plume mais la lecture à haute voix n'avait plus été dans ses intérêts depuis la dernière fois où elle eut été porte parole.

Vous avez pensés aux alliances au moins ?

La jeune femme à la chevelure de feu attendit alors un mouvement de son cousin ou de Cerdanne, étant les témoins des futurs mariés, qui logiquement devaient posséder lesdites alliances. Mais le moment n'était pas encore venu.
En attendant que ces deux objets soient retrouvés soit dans la poche d'un témoin soit à l'auberge, auquel cas il devra courir pour les avoir à temps, elle s’éclaircit la gorge et pivota le buste vers le Comte, l'air soudainement grave, prête à poser la question fatidique.

Henry était bien évidemment présent aux cotés de son amie !
Il l'avait vu remonter la nef au coté de son père, et durant ce court moment, une multitude de souvenirs lui revinrent à l'esprit.
Que se soit l'arrivée à Saint Pol et l'accueil qui lui fut réservé, la présentation à Brocéliande, l'entrée à la collégialité, le mandat de PP et les crieurs - chieurs pour certains - , puis les ambassades, Ploermel, ...

Elle en avait parcouru du chemin, la Mini Grande BAMIe !
Tous ses amis étaient présents, certains n'étaient plus de ce monde, mais ils l'observaient, la protégeaient et la soutenaient depuis les cieux.
Eux aussi étaient de là fête !

Lorsqu'Aalys commença la cérémonie, un frisson parcourut le corps du jeune homme, ainsi donc cela allait être fait, ils étaient là.
Mae et son comte, la baronne et Toni.
Qu'est ce qu'il en avait entendu parlé de Toni - et en même temps heureusement -
Henry était heureux de pouvoir être présent comme témoin. Quel rôle important à jouer, quel honneur !

Être témoins du bonheur de deux êtres était une véritable bénédiction et le jeune couple semblait vivre un véritable conte de fées
La petite Princesse le méritait.

Messages : 2 Date d'inscription : 21/07/2011

Mal réveillé, j'avais constaté avec désastre que je portais toujours mes habits de voyages. J'avais le choix: ou je prenais le temps de me changer et j'arrivais en retard à l'Église, ou j'y allais en trombe habillés comme tel.
Je n'ai pas hésité une seconde. L'honneur passe avant tout.

J'arrive donc en retard. Et ne me fais pas le moins du monde discret. Je me rend au premier rang, en saluant quelques têtes connus.

Messages : 4 Date d'inscription : 22/07/2011 Localisation : Tréguier

Zakarine était entrée dans l'église d'Espalion en compagnie des derniers invités arrivés. Elle s'était installée très discrètement au fond, pour ne point déranger la cérémonie qui se déroulait sous ses yeux émus aux larmes..

Ne pouvant tout de même pas s'empêcher de commenter ce qu'elle voyait, elle chuchotait à ses voisins

Rhoooo, ce qu'elle est belle! Et lui, n'est-il pas élégant? Mais chuuut voyons ! C'est le moment de l'échange des alliances, pfffff ....

Son regard ne se détachait pas de l'autel où Aalys, une autre Bretonne, célébrait le mariage de son amie Maewenn. Elle ne remarqua Gin qu'après un petit moment et lui fit signe de la main, en guise d'excuses..

Comme telle n'était pas la coutume, Zakarine était à nouveau en retard... mais qu'avait-elle donc en tête ce jour-là? Son esprit voguait on ne savait où et son corps le suivait dans ses divagations..

Cependant, cette fois, la Trégorroise était là et bien là. Elle ne voulait manquer aucun instant des noces auxquelles la rouquine avait été conviée..

Messages : 1 Date d'inscription : 28/07/2011

Longue hésitation, paresse oblige, Poup avait finalement revétue sa plus belle robe et avait répondu à l'invitation, motivée par l'envie de rencontrer ou d'appercevoir des amis de feue sa mère. Arrivée tardive, course pour rejoindre l'Eglise, elle y entre furtivement et prend place dans le fond. Arf c'est déjà commencé.... Regard furtif sur tous les invités, puis admiratif sur la mariée .. Boudiou l'est belle.. Elle arrete un instant son regard sur le marié . Sa mère lui en avait tellement parlé dans ses missives que Poup avait fini par croire que c'était l'assistant d'Aristote . Mouai... Bon sang de bois, il dégage celui là pfiou... mais bon ca reste un homme pfff Petite pensée pour sa mère .. Moman c'est vraiment un joli couple ...

Messages : 1 Date d'inscription : 17/07/2011

[ En retard ? Bin quoi je traine un vieux et je n'ai qu'une jambe !!]

La jeune femme avait été harcelée par sa cousine Constance pour qu'elle vienne à ce mariage, envie ? C'est sur oui elle en avait envie.. Mais elle n'était pas invitée ! Alors jouant maline elle alla voir son vieux suzerain qui lui à coup sur devait être invité ! Elle l'avait regardé avec des yeux ronds, lui demandant s'il voulait bien l'accompagner au Mariage de Tony Montana usant de son handicape comme d'argument, et il avait fini par accepter le vieux ! C'est ainsi que quelques peu en retard pour la cérémonie, l'unijambiste accompagnant le vieux Poilu passa les grilles du domaine.

Sans culpabilité aucune sur la supercherie, après tout elle ne lui avait pas menti... à aucun moments elle n'avait précisé avoir une invitation.. C'était plutôt de l'ordre du non dit...

Bon maintenant le tout était de faire une entré discrète, entre deux combats pour la guerre elle n'avait pas eut le temps de se procurer une robe et de toute façon elle n'aimait pas ça. Alors elle entra avec sa tenue de combat.. Une paire de brais et une chemise... Dans l'église se trouvait déjà beaucoup de monde, mais elle ne put que reconnaitre les deux FIERistes provençale. Sa cousine.. Mila et la comtesse en titre Miss.. Le bruit de sa jambe de bois contre la pierre froide de l'église résonnait et elle préférait ce cacher derrière George, honteuse du retard.

Doucement ils s'approchèrent de Mila qu'elle salua d'une bise fraternel, suivit d'une à Miss et d'un sourire à la Marquise. Dans un chuchots avant de prendre place à leurs coté, laissant de la place au Poilue pour qu'il s'assied à son tour..

Bonjour Constance, Miss, comment allez vous depuis tout ce temps ? Nous somme un peu en retard mais George traine de la patte... C'est l'âge !

Sourire malicieux, puis regard prudent en direction du suzerain afin de ne pas se prendre un coup derrière la tête pour punir son insolence.

Messages : 1 Date d'inscription : 28/07/2011

George oubliait toujours les mariages, même de sa propre famille, mais cette fois ci avec les rappels insistants de poumona, il ne risquait pas d'oublier

Sur le trajet, il essaie de se souvenir du nombre d'années qu'il connaissait le marié. il arretait rapidement de compter les doigts ne lui suffisant plus et sa mémoire étant parfois capricieuse.

il se présnte alors avec Poumona et constate du regarde qu'il connait plusieurs invités

Fatigué part le voyage, le duc s'assied et hèle un domestique pour qu'on lui apporte un rafraichissement

Messages : 3 Date d'inscription : 19/07/2011

Il ne connaissait que peu de monde mais était impressionné par le faste de la cérémonie. Il restait légèrement en retrait tenant la main de sa tendre épouse dans la sienne, se remémorant ce qu'ils avaient ressentis lors de leur union. Il regarda les mariés se tenant devant l'autel et se demanda s'ils étaient emportés par des tourbillons similaires de sentiments intenses.

Non loin d'eux, il entendit:

Citation :: Bonjour Constance, Miss, comment allez vous depuis tout ce temps ? Nous somme un peu en retard mais George traine de la patte... C'est l'âge !

Il se retourna avant de constater qu'il ne s'agissait pas de la même Miss et sourit à l'idée qu'il considérait la sienne comme unique au monde.

Messages : 41 Date d'inscription : 19/07/2011

La robe venait juste de s’immobiliser. La dentelle du bas ondulait encore légèrement.
Lys venait de prendre la parole...
Le mariage débutait !
Une main vint prendre la mienne et les doigts enlacés nous regardions ce couple qui allait s’unir.
Que de souvenirs en cet instant…

Messages : 1 Date d'inscription : 02/08/2011

Bahia s'était fait discret depuis le début de la cérémonie, mais pourtant, il était là, bel et bien là. Il faut bien avouer que la présence du monde avait tendance à l'effrayer, lui qui sortait à peine d'un long repos.

Les deux futurs mariés étaient bien assortis, et le bonheur se lisait sur leur visage. Bahia était heureux de voir que celle qu'il avait élevé une partie de son enfance, était devenue une jolie femme, et se faisait dès lors une jolie situation, celle-là même qui rêvait depuis toujours au prince charmant. C'était chose faite.

Cette cérémonie s'annonçait grandiose. Au moment où le couple passa devant lui, il les salua, sans être persuadé qu'il fut reconnu, tant la foule était compacte.

Messages : 5 Date d'inscription : 11/07/2011

Les mariés avait fait leur entrée, Constance ne put s'empêcher, comme nombre de personnes présentes, d'observer la jeune femme qui avait fait tourner le coeur de l'indomptable. Sourire au coin des lèvres, elle devait avoir un caractère bien trempé derrière la douceur de son apparence.

Elle ne pouvait parler à Hersende comme elle l'aurait voulu, il fallait respecter le cérémonie en cours. Elle tourna tout de même son regarde vers elle, un regard qui ne laissait pas de doute, elles repartiraient ensemble ! C'était sans compter l'arrivée de sa cousine qui... qui avait une jambe de moins. La provençale faillit défaillir en voyant cela.

Elle lui fit un signe très nerveux de s'asseoir sans dire un mot, le souffle coupé par la vision de sa cousine boitillant.

Messages : 4 Date d'inscription : 20/07/2011

aprés les rinces gosiers de rigueur les présentations et les sourires forcés , il etait temps de se reunir pour celebrer le mariage , clo avait revetu la robe qui rend jolie tout en restant discréte , c'est que les reunions mondaines c'est pas trop son truc , mais bon petite niéce oblige elle se devait d'etre pas loin d'elle en ce jour magique ...

l'eglise etait deja fort pleine quelques amis confortablement installés attendait le début de la cérémonie , elle savait qu'un fantome du passé avait fait sa réapparition depuis quelques jours et clo se disait que mae avait passé bien plus de temps avec ce fantome la qu'avec sa tatie toujours sur les routes donc logiquement il devait etre présent , enfin normalement ... cherchant des yeux une tete blonde dans l'assistance , elle le trouva non sans mal , il semblait meme un peu coincé parmis la foule ... se frottant les mains sur sa robe pour eviter de les avoir moites par le stress et l'emotion , elle se fit discréte pour tenter de le rejoindre avisant une mini place a ses cotés , po grave elle n'y mettrait qu'une fesse et garderait equilibre pendant la cérémonie ..

le piou sur les talons , clo glissa une fesse a coté de bahia et lui offrit un sourire timide, mains jointes s'ecrasant mutuellement ... puis porta son regard sur sa niéce toute belle dans sa magnifique robe aujourd'hui elle etait la princesse qu'on admirait .

Messages : 1 Date d'inscription : 03/08/2011 Localisation : Berry

Pandorha fut averti à temps. Un mariage, elle devait faire vite, trouver un cavalier, elle avait le nom en tête déjà, ce serait Bubul, il accepterait surement, il ne lui disait jamais non. Elle était donc allée le voir pour le lui demander et comme prévu il avait dit oui. Ainsi en route pour le mariage. Pandorha devait voyager en carrosse, elle tenterait bien le cheval durant le trajet, mais avec ses blessures qui la faisaient encore souffrir, on allait essayer de l'amener au mariage debout. Elle cria plusieurs fois pour qu'on aille plus vite, mais comme à son habitude, à peine en carrosse, qu'elle s'était assoupie. Quelques haltes pour changer de cheveux, se rafraichir et hop de retour dans le carrosse.

Puis une fois arrivée, on leur indiqua rapidement l'église, ils étaient prêts, Pandorha portait une petite robe bleue, qui ne la faisait pas trop souffrir du fait de ses blessures, le cheveux en nattes, sans bijoux. Elle paraissait fatiguée, ce qui était le cas, faire un voyage aussi long dans son état, mais elle voulait se changer les idées...

Ainsi, elle arriva sur le parvis, puis dans l'église, cela n'avait pas encore commencé (si si c'était le début encore), elle saluerait les personnes qu'elle pouvait connaitre, d'ailleurs des visages connus étaient parmi les invités, mais quand elle aperçue un banc juste à l'entrer, elle ne peut s'empêcher d'aller s'asseoir et c'est ainsi assise sur le banc qu'elle attendit. La présence de Bubul était réconfortante et elle pouvait au besoin se laisser aller contre lui.

Elle lui murmura quelques mots en lui souriant.

Merci d'être venu.

Messages : 1 Date d'inscription : 03/08/2011

Les temps étaient troublés en Berry et autour de son très cher duché, mais comment dire non à la plus Divine des gentes dames.
C'est donc ainsi que Bubul se fit emmener de gré par Pandorha pour un long voyage.
Elle avait été invitée à un mariage et il lui servirait de garde du corps, au sens propre comme au figuré qui sait, de chevalier servant, de domestique....
Il se plierai à tous ses caprices, Mmmmmmm quel merveilleux programme. Certainement qu'il ferait quelques erreurs pour être grondé et fouetté .....
Cela l'émerveillait de plaisir et de joie de se trouver à ce mariage.

Que dire du voyage, de ce long périple en carrosse.
Moultes fois du au mauvais état des routes, chaque trou le fit basculer en avant et heureusement personne ne vit, ni ne saura qu'il lui atterrit dans les bras.....
Il s'excusa autant de fois qu'il put, mais voilà que le voyage touchait déjà à sa fin.
Un voyage bien trop rapide au final à son gout, vivement le retour et pourquoi pas une roue qui se brise. Il faudra penser à l'aider à se casser se dit-il.
Avant de descendre, il déposa un très douce bise sur la joue de Pandorha et lui fit son plus beau sourire. Il sortit le premier du carrosse et l'aida à descendre en lui tendant la main.

Lui offrant son bras, ils arrivèrent tranquillement sur le parvis de la maison du Trés-Haut, lieu de la célébration.
Bubul se dit qu'il serait peut-être prochainement à la place de ses deux amoureux qui allaient s'unir en ce jour. Il faudra qu'ils les remercient de l'accueillir icelieu et les invitera en retour.
De dos il ne reconnut personne, mais il avait entendu dire que son suzerain George serait présent.
Ils s'installèrent au fond de l'église, elle semblait fatiguée. Il faut dire que sa santé était des plus délicates en ce moment après les blessures qu'elle avait reçu, notamment.

Elle prit la parole pour le remercier de sa présence. Il lui répondit en retour.

Je suis votre obligé ma Dame.
Vous savez fort bien que vous pouvez compter sur moi en tout instant.

Bubul prit sa main dans la sienne, la porta à ses lèvres et y déposa un doux baiser.

Messages : 1152 Date d'inscription : 04/10/2010

Toujours pendu au bras de son père, elle avance solennellement vers l'autel. Ses yeux sont rivés sur lui, ne rien voir d'autre et surtout pas tous ces gens qui doivent la détailler en ce moment meme sous toutes les coutures. Machinalement ses yeux quittent un instant ceux du comte pour descendre sur ses petons. Et si elle avait oublié de mettre ses souliers ? Discret soupire de soulagement lorsqu'elle voit ses pieds. Le visage se relève et les yeux le cherche de nouveau. Ne pas faillir, c'est vraiment pas le moment. Elle continue d'avancer alors que la main de son père se pose sur la sienne. Un sourire vient orner son visage. La chaleur de sa main la rassure instantanément. Bientot l'allée est entièrement remontée et la voila face à sa diaconnesse, cette femme qu'elle aime plus que n'importe qu'elle autre. Sauf Maman hein, mais c'est pas le meme amour. Comment ca on s'en tape de ces histoires bisounoursiques ?

Son père l'aide à s'installer auprès de son futur époux. La mome s'asseoit dans le fauteuil, relevant légèrement ses jupons parce que foutre dieu ca en prend de la place ces trucs. Puis il la laisse la, seule face à son destin. Et surtout face à Aalys pour le coup. Les doigts s'entrelacent à ceux de Toni un sourire aux lèvres alors que la cérémonie commence. Un regard en coin pour vérifier que le témoin est bien la et qu'il n'a pas bouffé la commande. On sait jamais avec lui, faut s'méfier. Sourire qui s'élargit, rassurée de sa présence. Ses yeux se rivent maintenant sur Lys, mordillant légèrement sa lèvre. Elle l'écoute, buvant presque ses paroles. Un regard. Dis ca va etre long hein ? J'aimerais tant que la cérémonie soit déja fini. Dialogue muet qui n'a lieu que dans sa tete.

Un rire discretement controlé s'échappe alors que sa diaconnesse parle de fuite. Nannnnnnnnn je partirais pas. Pis j'le tiens, il va pas fuir non plus hein. Les doigts se resserrent. Non décidément, personne ne fuira aujourd'hui. Une légère angoisse lui traverse l'esprit à l'évocation des alliances. Qui qui les a ? Ou qu'elles sont ? Gasttttttttt, trouvez moi ces foutues alliances. Mais elle reste impassible, stoique. Tout se passera à merveille, elle en est convaincue. Sa femme se tourne vers son promis. Instant des plus magiques pour la jeune femme.

Messages : 4 Date d'inscription : 19/07/2011

Comme a son habitude durant les cérémonies, Arka s'était installé
plutôt à l'arrière de l'assemblée, une flasque a portée de main...

Il en profita pour embrasser du regard l'assemblé,... de nombreuses
tetes connues, certaines fort bien, d'autres, de simple visages deja
croisés sur lesquels il s'obstine à vouloir y remettre un nom.

La cérémonie avançait, et les futurs époux se présentaient devant
la diaconesse. Discrete lampée de prune parce que foudioudiou, ça
file des emotions... discrete ??? jusqu'à ce que la flasque s'écrase au
sol avec un "dzinnng" caractéristique...

Messages : 5 Date d'inscription : 22/07/2011

L'avantage, quand on n'est pas dans les tous premiers rangs, c'est que, si on entend tout aussi bien que les auters ce qu'il se passe devant et derrière, on a beaucoup moins de scrupules à se retourner pour comprendre ce qui arrive, puisqu'on est vu par moins de monde. Position stratégique, donc, qui permet au Flamand de s'enquérir du regard de ce qui se tramait. Et d'apercevoir le blasphème qui venait de se produire... Laisser tomber une bouteille!!! On n'en était plus aux usages païens, pourtant. Et les offrandes en nature sur les sanctuaires saints n'étaient pas, à sa connaissance, exigées par le droit canon. Mais surtout, blasphème des blasphèmes, c'était gaspiller un bon alcool - ou du moins une boisson qu'il estimait telle - sans en avoir laissé profiter les autres.

Le regard ne se fait pas pour autant outrageusement réprobateur. Tout au plus exprime-t-il une certaine déception. Mais surtout, il appelle le coupable à gagner un des derniers rangs, pour éviter que la cérémonie ne soit plus troublée. Il sera toujours temps de s'occuper de cela plus tard, ou d'y dépêcher quelques bedeaux appatés par la perspective d'un travil rapide et payé.

Messages : 7 Date d'inscription : 19/10/2010

La cérémonie était commencée depuis un bon moment, les invités arrivaient toujours et s'installaient dans la magnifique petite église décorée avec soin et beaucoup de goût pour l'évènement.
De temps en temps, son époux lui glissait quelques mots à voix basse et elle lui répondait de la même façon.

Ils se retrouvaient plongés dans les souvenirs de leur propre mariage et la présence sereine de Monseigneur Anguillerusee avec son radis aristotélicien et ses tranches de lard fumé.
Ce jour là avait marqué les esprits de nombreuses personnes car il réunissait autour d'eux les personnages illustres du moment, comme aujourd'hui pour les futurs époux.

La Grande Duchesse Nathan, en ce temps là nul besoin de se dire Reine pour gérer de la bonne manière la Bretagne et le Duc Amalric, futur Grand Duc étaient les témoins de Pit.
Le Maréchal Bandor, son ami, son mentor et la Baronne Gannika, première épouse du Grand duc actuel étaient les siens.

C'est justement ce dernier qui l'avait conduite à l'autel!
Comme le comportement des gens peuvent parfois changer au fil du temps et en fonction des titres ou de l'entourage malfaisant!

Mais au loin les souvenirs, la page était tournée et ne restait que le couple soudé depuis le premier jour de leur rencontre et encore maintenant après tant d'années tout autant.

Aujourd'hui, c'était le jour de Maewenn et Toni et rien d'autre ne comptait.

En attendant la suite de la cérémonie, ils regardaient autour d'eux, ils saluaient discrètement d'un sourire ou d'une inclinaison de tête ceux qu'ils connaissaient Henri de Silly, Frederine, Riwan, Georgepoilu.
Mais en apercevant Harpege, le sourire devint immense et le regard complice.
Une grande Dame que cette Amirale de France!

Mais un bruit caractéristique de flasque qui tombe au sol les ramène à la réalité, ils se regardent en retenant à grand peine un éclat de rire et ne veulent surtout pas se retourner pour voir d'où vient l'exploit.

Alors ils inclinent légèrement la tête et font mine de se concentrer à nouveau sur la Diaconesse Aalys et les futurs époux en attendant après la cérémonie d'aller échanger quelques mots avec les personnes qu'ils appréciaient.

Messages : 11 Date d'inscription : 10/07/2011

Elle parle, elle parle la belle rousse et elle a l'air de trouver tout ça amusant.
Elle fixe son regard sur son Com's et lui trouve quand même un drôle d'air.
Elle ne l'avait jamais vu comme ça encore Toni....
Il faut reconnaitre que la petite meringue qui s'avance vers lui est sublime et donne envie de croquer dedans..

Main dans la main, on se demande qui retient l'autre..
L'église est pleine de bretons et lui il ne voit qu'elle.
Cerdanne grimace et se dit que tout fout le camp...

Bien sur que je les ai les alliances..C'te question!

La main de la brune tapote légèrement le tissus soyeux de sa robe et elle affiche un grand sourire..
Un bruissement un peu plus fort et les anneaux sont déjà au creux de sa menotte.
Juste un grand fracas qui accompagne le geste de la Provençale.
Le sourire se fige et elle regarde la diaconesse..

Est ce un signe de ton Aristote...
Je garde les anneaux encore un peu ou je les abandonne pour leurs doigts..?

La main se referme sur les alliances..
L'église est pleine à craquer.
Elle ne doit pas être la seule à avoir entendu la protestation...

Alors quoi?...
On les marie ou pas???